Top 20 des champignons les plus courants à Les Lilas
Connu pour sa végétation luxuriante et son climat variable, le site Les Lilas offre un habitat idéal pour le développement des champignons. Son écosystème unique favorise une abondante richesse d'espèces de champignons. Parmi celles-ci, découvrez les 20 types les plus courants, chacun offrant un mélange intrigant de caractéristiques uniques, de saveurs riches et d'une variété étonnante. Plongez dans la richesse des champignons de Les Lilas, cachés juste sous la surface.
Champignons les plus courants
1. Parmélie des murailles
X. parietina est un lichen d'assez grande taille, dont le diamètre des thalles individuels dépasse rarement huit centimètres, mais peut exceptionnellement atteindre une quinzaine de centimètres. L'espèce peut toutefois occuper des surfaces considérables, de nombreux thalles pouvant coexister sur un même support, voire confluer en plaques étendues. Il s'agit d'une espèce foliacée dont les lobes, disposés en rosette, sont le plus souvent appliqués sur le substrat. L'extrémité des lobes est large et arrondie. Les rosettes ont parfois un aspect plissé, en particulier chez les exemplaires âgés. La face inférieure du thalle est blanchâtre et comporte quelques rhizines (fausses radicelles, issues de la soudure de poils, fixant le thalle à son support). Comme pour les autres représentants du genre Xanthoria et la plupart des représentants de l'ordre des Teloschistales auquel il appartient, la couleur de ce lichen varie du jaune à l'orangé. Cette coloration est due à la présence dans le cortex d'une substance sécrétée par le champignon, la pariétine, un composé de la famille des anthraquinones. L'intensité de cette coloration est très variable, et l'on observe parfois, surtout à l'ombre, des thalles plus ternes, d'un gris-vert sans trace apparente de jaune. Il a été montré que la quantité de pariétine dans le cortex variait fortement en fonction de l'éclairement (rôle photoprotecteur pour éviter la destruction par photooxydation), les thalles situés en pleine lumière dans les falaises contenant en moyenne cinq fois plus de ce composé que ceux vivant dans les sous-bois, en particulier de conifères. On peut retrouver un gradient de même nature au sein d'un thalle unique : les parties situées sur la face supérieure des branches sont normalement jaunes alors que les zones situées à la face inférieure sont parfois plus ou moins verdâtres.
2. Flavoparmelia caperata
Le Caperatflechte possède un thallus großlappigen qui se situe sur la face supérieure vert jaunâtre à gris vert. Le diamètre du rosettigen ou du roulement irrégulier peut atteindre 20 cm, les lobes de roulement sont arrondis et jusqu’à 10 mm de large. Le lichen présente des oraux ponctuels et granuleux, qui peuvent recouvrir des zones encore plus vastes, en particulier dans le centre ondulé du camp. Sur le dessous, il est noir avec des rhizines, sur le bord avec une zone exempte de rhizome brun d'environ 2 mm de large. Les corps de fruits (Apothecien) sont rares. Il existe des risques de confusion, en particulier avec les Flavoparmelia Soredians, qui n’émigrent évidemment que de l’ouest au nord-ouest de l’Allemagne depuis les années 1990 (bien qu’ils aient des lobes plus petits et des soredia à grain plus fin, ils sont en outre nichés plus près du substrat).
3. Mousse de chêne
Son thalle fruticuleux est à ramifications dichotomiques isotomiques mais à fréquentes anisotomies dans leurs bifurcations annuelles et leurs rameaux adventices. Le thalle très polymorphe est formé de lanières aplaties en forme de buisson pendant. La face supérieure est gris vert, la face inférieure est gris blanc. On trouve des sorédies sur les bords du thalle et un peu sur la face supérieure.
4. Parmélie à bouclier martelé
Comme chez de nombreuses espèces de Parmelia, le thalle foliacé est constitué de nombreux lobes assez étroits — jusqu’à 5 mm de large — souvent tronqués aux extrémités, se chevauchant vers le centre du thalle, et qui présentent un réseau caractéristique de fissures blanches faisant plus ou moins saillie sur le thalle et donnant des soralies granuleuses grisâtres. Faiblement adhérent au substrat, il forme des rosettes pouvant atteindre une dizaine de centimètres de diamètre quand il est isolé, mais peut s’étaler sur une vingtaine de centimètres par juxtaposition de plusieurs thalles. La face supérieure est le plus souvent d’un gris-vert glauque, légèrement bleuté. Caractéristique du genre Parmelia, l’extrémité des lobes est parcourue par un réseau de lignes blanches (pseudocyphelles formant un réseau de sillons d'où l'épithète sulcatus). La face inférieure est noire, plus brune vers l’extrémité des lobes, pourvue de rhizines simples ou fourchues.
5. Pertusaria amara
6. Phlyctis argena
Le thalle blanchâtre à gris, à crête mince pour la plupart (souvent plus clair que la frontière clairement définie) se fragmente de manière irrégulière contre le centre du camp. Les apothicaires sont très rares (puis noirs, blancs givrés et affaissés, jusqu’à 0,4 mm de diamètre).
7. Punctelia subrudecta
8. Melanelixia subaurifera
9. Pleurosticta acetabulum
La rosette de l'acétabulum de Pleurosticta peut atteindre jusqu'à 25 cm de diamètre. Le sommet du thalle est vert sec à brun verdâtre à vert brunâtre, vert olive humide. Le dessous est noirâtre et présente une bande plus brillante sur le bord, où reposent des rhizins dispersés. Sorale ou Isidien ont disparu. Les corps de fruits (apothicaires), cependant, sont courants et peuvent atteindre 1 cm de diamètre. Ils se caractérisent par un disque brun au bord brillant et dentelé.
10. Amandinée ponctuée
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